dimanche 30 mai 2010

Un vernissage d'Art Passion !


Ce vendredi 28 mai 2010 avait lieu à la maison des Arts de Trélon (France), le vernissage de l'exposition collective "Art Passion" à laquelle toute la petite famille participait, en tant qu'artistes exposants.


Annick, Coraline et moi exposions dans une sympathique petite salle donnant une véritable intimité à celles et ceux qui venaient en prendre connaissance.


D'autant que notre ami Philippe PIEFORT, sculpteur, occupait l'espace avec nous pour présenter ses oeuvres originales dont l'arbre de la féminité déjà présentée en notre galerie.


Dans la salle principale, avaient pris place les artistes Brigitte PIERARD, peintre, Laurence DEWILDE, sculptrice et André LEROT, peintre.


Sur le coup de 19H00', les invités arrivent !

André LEROT accueille les invités et fait son discours de présentation de l'exposition à côté de la Présidente d'honneur de l'association les Ymagiers, Claudine De Lange.


L'assistance est attentive aux mots prononcés.


Et il l'heure du vin d'honneur.


Les artistes ont terminé la soirée au jardin. Une belle soirée conviviale autour des passionnés de l'Art.

dimanche 23 mai 2010

Vie d'artistes.

L'idée d'organiser un souper de dévernissage du 5ème salon de l'Eternel Féminin s'est concrétisée ce samedi 22 mai 2010.


C'est dans le cadre prestigieux du site de l'Abbaye d'Aulne que 10 artistes et leurs conjoints se sont retrouvés au café LEBLON.


Ce café est loin d'être un simple bistroquet. En effet, il a une véritable histoire qui touche de près la collègue de travail d'Annick, Laurence, dont l'arrière grand-mère fut la première tenancière du café restaurant LEBLON-WEVE dont Laurence nous a offert les photographies d'époque.


Au départ, il était implanté dans l'enceinte même de l'Abbaye.


Voilà ce qu'est devenu le café restaurant, aujourd'hui, à cet emplacement.


Le café LEBLON a en effet déménagé quelques centaines de mètre plus loin.


Aujourd'hui, ce n'est plus la famille de Laurence qui le gère mais, malgré la récente rénovation, le cadre reste fidèle à son ambiance chaleureuse d'antan.


C'est donc ici que nous avons pris l'apéritif, non à la terrasse, complète, mais sur le petit terre plein en face. Sur cette photo, vous pouvez voir, de gauche à droite, les sculptrices Maria RE et Béatrice DERIDIAUX, la pastelliste Annick TERWAGNE, le photographe Rickwills et son fils Arnauld, les peintres KAWES et André LEROT et enfin, Annie, l'épouse de ce dernier.


Ici, Jean LEDOCQ et Nicole, son épouse.


La peintre Manuela HAMES et Fabian, son époux.


Le photographe Freddy HAUGLUSTAINE et sa compagne Béatrice.


Tout ce petit monde s'est retrouvé dans la salle à manger du restaurant autour d'une table conviviale.


Fait rare qu'il faut le souligner, la bonne humeur constante du peintre André LEROT n'était pas due au délicieux vin blanc liquoreux servi avec l'entrée ou le succulent vin rouge servi avec le plat de consistance mais à la force férigineuse de l'eau de SPA !


En fin de soirée, le gâteau d'Intimerrance fut servi aux invités. Une attention délicate des propriétaires du café-restaurant LEBLON.


Mais l'agréable surprise de cette fin de soirée fut la visite de Laurence qui, pour le plaisir de tous, expliqua l'histoire de l'établissement où elle a passé toute sa jeunesse.


Une soirée qui laissera indégniablement des traces dans la mémoire de chacune et chacun des participants.

Un grand merci à Freddy HAUGLUSTAINE pour ces quelques photos d'ambiance :




mardi 18 mai 2010

5ème salon de l’Eternel Féminin : Freddy Hauglustaine


Freddy Hauglustaine, né dans un quartier populaire de l’ancienne cité lainière de Verviers, le 28 octobre 1958, partage sa vie professionnelle entre le monde du rail et celui de la Presse régionale. Il nourrit en effet une passion de longue date pour la photographie, découverte par hasard dans la chambre noire « bricolée » par un professeur un peu fou de l’établissement scolaire où il suivait alors des cours de math fortes pour devenir… pilote d’avions.

Sa carrière de photographe de Presse a débuté dans la nuit du 15 au 16 juin 1989, lorsqu’un impressionnant incendie a ravagé l’ancien bâtiment central de l’hôpital de Verviers. Une collaboration longue de treize années devait ensuite le lier avec le quotidien « Le Jour-Le Courrier », édition verviétoise du groupe Vers l’Avenir, où sa plume allait également être très vite sollicitée.


Freddy n’a cependant jamais oublié son intérêt pour le portrait, le nu et ses recherches personnelles en noir et blanc. Certaines de ses images ont ainsi décroché de belles publications, tantôt dans les pages de l’édition française de Playboy (1996), tantôt dans des ouvrages davantage industriels (Meusinvest).

Depuis 2003, Freddy Hauglustaine collabore activement – mais toujours en free-lance – avec la rédaction verviétoise du groupe Sudpresse dont le titre « La Meuse Verviers » rend compte de la vie locale, tant sur le plan événementiel que politique ou social. Il développe aussi depuis peu son site Internet personnel (www.imagesplusbelgium.be).


L’exposition de cinq de ses recherches personnelles dans notre galerie constitue une première expérience du genre pour lui…

Freddy Hauglustaine expose au 5ème salon de l’Eternel Féminin présenté à la galerie Intimerrance, rue Vandervelde, 95 à Montigny-le-Tilleul, du 8 au 22 mai 2010 le mercredi et samedi de 15 à 17 heures et le vendredi de 17 à 19 heures.
Info : 00-32-(0)71/51.18.42 – www.galerieintimerrance.com – galerie.intimerrance@skynet.be

mardi 4 mai 2010

Le 5ème salon de l’Eternel Féminin : Claude DAMIEN.


« La beauté ne réside pas seulement dans la joie ; mais aussi dans sa douleur et toutes autres expressions Ce sont ces expressions qui nous dissocient de la machine. Puisque le visage est la première manifestation extérieure vers de nouvelles rencontres humaines. »

Claude DAMIEN nous vient de Dour. Sorti de l'Académie en 2001, de la section dessin et peinture artistique, des penseurs comme Hegel, Jung ou Nietzsche ont nourri son existentialisme. De l'autre coté, Baudelaire, Modigliani ou Sartre sont les germes de sa philosophie mélancolique. La vie est d'apparence éphémère. Pourtant, nous laissons tous une trace dans la société.

Dans son travail, sa représentation de crânes ou d'ombres n'est pas une résonance de la mort. Son symbolisme est une démonstration du pouvoir et le siège de l'esprit, de l'imagination, de la conscience à l'inconscience ou de la souffrance. Le mélange s'accentue avec des nus de femme, de portraits mélangés entre abstrait et figuratif. Car nous sommes tous les résultats de l'évolution des idées de notre inconscient collectif, déclare-t-il. Ainsi, nous ne pouvons pas naitre libérés.

Son travail est un passager qui ne laisse pas indifférent. Il aime sortir des chantiers battus et faire découvrir un univers sans tabou où le matérialisme est néant. Il travaille avec différentes techniques, acrylique, huile, média mixtes, sur toile, bois, sur métal.

Claude DAMIEN n'aime pas le titre « artiste peintre » car il a plusieurs flèches à son arc, comme les performances publiques ou l'écriture. Il préfère ainsi se déterminer comme plasticien qui est plus ouvert à l'univers qu’il vous fait découvrir dans un mélange de différentes techniques et disciplines. Après un Essai-Critique « L'Overdose de l'Art Contemporain, Manifeste pour un Imaginaire Hallucinatoire », il vient de publier un recueil de poèmes. Ses textes sont publiés en diffusion libre sur internet, car il est à la recherche de Mécènes (comme beaucoup d'artiste). « Face à cette société actuelle, nous devons nous diversifier. Toutefois, j'indique maintenant, le fait que je n'appartiens à aucune école mais seulement à ma marginalité. »


Claude DAMIEN exposera au 5ème salon de l’Eternel Féminin présenté à la galerie Intimerrance, rue Vandervelde, 95 à Montigny-le-Tilleul, du 8 au 22 mai 2010 le mercredi et samedi de 15 à 17 heures et le vendredi de 17 à 19 heures.

Le vernissage se tiendra, en présence des artistes, le vendredi 7 mai 2010 à partir de 19 heures. Vous y êtes cordialement invité(e).