mardi 23 novembre 2010

RENDEZ-MOI MES POUPEES.

Charline LEMBOURG est née à Namur (Belgique) et habite depuis 1980 dans notre charmant village de Montigny-le-Tilleul (Belgique).

Elle écrit son premier poème à l’âge de 11 ans et elle endort ses petites sœurs en leur racontant des histoires. Débordante d’imagination, elle écrit des contes pour enfants.

En août 2007, elle rend hommage à Simone BAUDOUX en écrivant « Les cent ans de Simone ». Emue jusqu’aux larmes, la petite fille de l’heureuse centenaire l’encourage à écrire un livre.

C’est ainsi qu’est né « Rendez-moi mes poupées ». Une charmante histoire qui se balade entre la Sambre et la Meuse. Un récit émouvant, poignant et bouleversant à la fois.
Résumons ce récit :

Hélène est enceinte. Déjà maman d’une petite fille, elle ne souhaite pas cette grossesse car son mariage est un échec. Elle décide de faire appel à une faiseuse d’anges afin d’avorter. L’opération n’aboutit pas, l’enfant naît et c’est encore une fille. Quelques mois plus tard, séparée de son mari, Hélène abandonne son bébé aux soins de ses beaux-parents. L’enfant est gravement malade, il lutte entre la vie et la mort.

Va-t-elle s’en sortir ?

A NE PAS MANQUER car le tirage est limité. Le prix de souscription est de 15 euros. Le livre comporte 116 pages en format 14,5 x 21 centimètres.
Sa date de sortie est fixée au 1er décembre 2010.La souscription est valable du 1er au 31 décembre 2010.Après cette date, le livre sera vendu à 18 euros.
Vous pouvez passer par nos soins pour acquérir ce livre. Et vous pourrez certainement la rencontrer en notre galerie à l’occasion d’une séance de dédicace que nous préparons en janvier 2011.
Tout rappellant que nous ne prenons aucune commission sur vente et que nous agissons de la sorte que pour aider les artistes dans leur démarche.
Un premier livre, c’est un moment de vie.

dimanche 31 octobre 2010

Artemisia et Michal exposent aux ECURIES

C'est à la Chaussée de Bruxelles 308 à 1410 Waterloo.

Du jeudi 11 novembre au mercredi 1er décembre 2010

Exposition accessible tous les jours de 14 à 18h (fermé les lundis) .

Vernissage le mercredi 10 novembre 2010, de 19h à 21h

Les artistes seront également présents les jeudis 18 et 25 novembre de 18 à 21 heures.

samedi 9 octobre 2010

L’autocensure manipulatrice ?

Cet article publié aujourd’hui dans le quotidien belge « Le Soir » a éveillé mon attention et surtout ma réflexion.


J’ai la chance d’être photographe et en même temps galeriste et d’être marié à une modèle nue. La galerie que je gère avec mon épouse, Annick, est dédiée exclusivement à la promotion de l’image de la féminité au travers des arts.



Premier principe : on ne sélectionne pas les artistes et encore moins les œuvres qu’ils désirent proposer au public. Nous demandons simplement de s’abstenir de tout ce qui est pornographique, vulgaire et insultant pour l’image de la femme. Comme tout ce qui pourrait avoir un caractère raciste et xénophobe.



Nous estimons, Annick et moi, qu’il ne nous appartient pas de porter de jugement sur un artiste et ses œuvres à la place de nos visiteurs. Les gens ne sont pas des enfants, ils sont capables d’apporter leur propre appréciation, en bien ou en mal. Nous ne sommes plus à l’école primaire pour indiquer à celles et ceux qui nous rendent visite, si c’est politiquement correct ou non. Qui plus est, les communiqués de presse sont clairs et précis sur le sujet exposé. Donc, chacune et chacun sont libres d’entrer dans la galerie ou non.



Mesure de précaution ? Oui !
Nombre de nos visiteurs viennent avec leurs enfants, de quelques mois à 18 ans. Lorsque l’exposition a un caractère un peu plus érotique ou fétichiste que d’habitude, on le signale dès l’entrée de la galerie et Annick et moi, nous occupons des enfants pendant que les parents visitent l’expo.



Les adolescents ?
Arrêtons l’hypocrisie ! C’est quoi un adolescent ? Un jeune ignorant incapable d’analyser et de comprendre la société dans laquelle il vit ?
Non, il est souvent plus ouvert que certains adultes sur les réalités de notre société d’aujourd’hui.
Il surfe sur Internet à longueur de journée, là, où, même lorsqu’il ne le souhaite pas, on le bombarde d’images pornographiques, de films pornographiques.
Il suffit de voir la couverture des magazines spécialisés pour les ados pour comprendre que la sexualité est omniprésente à l’intérieur.
Faut-il, osons l’écrire, visionner les clips des chanteuses vedettes des jeunes pour se rendre compte que le sexe est omniprésent et jeté en pâture à toutes heures de la journée.



La sexualité pour les jeunes, parfois très jeunes, n’est donc pas une inconnue.
Ils la découvrent, l’expérimentent. Ils en discutent, heureusement, à l’école, même au cours de religion catholique !
Et arrêtons l’hypocrisie ! Nous-mêmes, lorsque nous étions adolescents, abordions la sexualité dans un monde où la violence était moins présente, où la drogue était absente. Mais, la sexualité était un tabou indécent qui nous obligeait à chercher les réponses d’une manière détournée.



Et soulignons pour la forme, qu’en Belgique, la majorité sexuelle est à 16 ans, …



Dès lors, un photographe n’est rien d’autre que quelqu’un qui immortalise sur papier sa vision du monde qui l’entoure selon son ressenti intérieur ! Sa sensibilité face aux choses de la vie.



Depuis mon plus jeune âge, je me passionne pour la photographie à caractère humain, ce que certains appellent la photographie de proximité. Je n’ai jamais fermé les yeux sur quoi que ce soit, je les ai toujours gardé ouverts ne laissant à personne le droit de m’imposer un jugement sur ceci ou cela !



Depuis l’âge de 17 ans, donc dès mon adolescence, j’aborde en photographie le nu féminin sous toutes ses facettes, non en faussant le jeu par des mises en scène mais en faisant un arrêt sur image sur des moments de vie.



Mon appareil photographique est dès lors le témoin de ce que je vois, de ce que je ressens, de ce que je vis. La manière de prendre la photographie est l’expression de mes sentiments, de mes sensations.


En 37 ans de photographie sur la féminité, j’ai traité des sujets sensibles en laissant toujours mon « modèle » librement s’exprimer. En refusant de me mettre des menottes ou des œillères face aux réalités de la féminité. Et j’assume pleinement ma démarche en exposant mes photos sans m’autocensurer.


Dès lors, ne pas assumer sa démarche en interdisant aux moins de 18 ans le droit de visiter une exposition est, tout simplement, un manque de responsabilité de ses actes, j’ose le dire, de la lâcheté, de l’hypocrisie, sauf SI !


Sauf si, par cette démarche, la Mairie de Paris cherche à faire un coup de pub pour attirer les voyeuristes plutôt que les vrais amateurs de belles photos. La polémique fait que l’on parle de l’événement là où l’absence d’interdiction, d’autocensure l’aurait peut-être fait passer sous silence.


Aujourd’hui, c’est devenu une mode : on censure, on le crie bien fort et tous les sensationnalistes de tous bords rappliquent ! Et bien évidemment, les médias s’en mêlent car cela fait de l’audimat, de la vente. Comme lorsqu’une vedette de quelque nature que ce soit, dévoile « accidentellement » un sein sur les marches du festival de Cannes ou sur scène, entre autres, et que l’on retrouve cette photographie partout dans les médias et sur le net. Comme par hasard. Le pire, c’est que la vedette en question fait l’offusquée, … et que les puritains s’en mêlent.


Je me rappelle dans mon enfance ce carré blanc que l’on plaçait en bas de l’écran pour faire savoir aux parents que ce film n’était pas recommandé aux moins de 18 ans. Pourquoi ? Mes parents étaient-ils incapables de décider si oui ou non, leurs enfants pouvaient regarder un couple qui s’embrassait, un sein qui se dévoilait, …


En interdisant l’entrée de cette exposition aux moins de 18 ans, la Mairie de Paris, organisatrice de l’événement, est, en tout état de cause, passée à côté d’un pouvoir pédagogique fertile plutôt qu’à une censure stérile.


L’interdit, la censure et le silence sont les pierres angulaires des pouvoirs totalitaires. L’excuse de la prévenance contre d’hypothétiques actions d’associations puritaines n’est qu’un leurre grotesque et lâche. Courage, fuyons. Interdire, c’est priver l’autre de voir, de savoir, de s’épanouir par la connaissance.


A cela, je préfère l’ouverture, le dialogue. Laisser les adolescents visiter cette exposition aurait permis à ceux-ci, à leurs parents et enseignants ou autres, d’échanger des points de vue sur le sujet, aurait pu servir de base à une véritable réflexion, à un véritable dialogue sur des sujets qui touchent au quotidien ces jeunes.


Durant mes études en photographie, le dialogue avec les professeurs était permanent sur tous les sujets qui touchent à la photographie. Nous avions l’obligation d’aller voir au moins un film par semaine, d’en faire l’analyse et de venir le présenter aux autres. Tous les genres de film étaient abordés sans censure, sans tabou. C’est là que se gagne l’ouverture d’esprit.


Pour ma part, je pratique le nu féminin en photographie et je l’assume, j’explique ma démarche à ceux qui m’interrogent sur ce sujet. Pour sa part, Annick pose nue et elle l’assume pleinement et n’a aucune difficulté d’en parler avec celles et ceux qui abordent le sujet avec elle. Pour notre part, Annick et moi pratiquons le naturisme depuis des dizaines d’années. Nous ne taisons pas le fait, nous l’assumons totalement et en parlons avec toutes celles et ceux qui nous interrogent à ce sujet.


Mais, n’est-ce pas un président français qui a écrit un jour, dans son livre « L’abeille et l’architecte » : qui a peur de son ombre attend midi pour se lever, pendant ce temps, les autres courent !


La Marie de Paris, sauf si elle a agi par marketing plutôt que par pédagogie, a eu peur de son ombre et laisse courir les hypocrites pourfendeurs de nos libertés individuelles.
La Mairie de Paris a fait preuve de faiblesse en censurant cette exposition par peur des éventuelles réactions de certaines associations plutôt que de les affronter et d’expliquer les bienfaits de sa démarche artistique.


Paris ne serait-elle plus cette ville lumière où l’épanouissement des arts et des lettres était une référence ?


Ici, le photographe Larry Clark se contente, avec réalisme, de nous montrer des réalités du monde. Il ne les a pas inventées. Certaines de ces réalités appartiennent aux adolescents, sans aucun doute. Ils ont donc parfaitement droit de les voir, de les analyser, de les commenter entre eux et aussi et surtout, avec les adultes.


J’ai toujours préféré la lumière à l’obscurité. J’ai toujours préféré la porte ouverte au trou de serrure. J’ai toujours préféré le dialogue au silence. J’ai toujours préféré la liberté d’expression à la censure. J’ai toujours privilégié l’épanouissement à l’avilissement. J’ai toujours préféré la connaissance à l’ignorance.


Se voiler la face, c’est se mentir, se censurer mais c’est une démarche personnelle. Mais appartient-il à la Mairie de Paris ou à d’autres organisateurs d’expositions, de voiler la face des gens à leur place ?
Alors, coup de pub, dérive autoritaire ou incapacité d’assumer ses actes ?

mardi 7 septembre 2010

Annick TERWAGNE expose ses Confidenti'Elles



« Confidenti’Elles, l’errance sensuelle d’une pastelliste dans les jardins secrets de la nue féminité ».

Annick TERWAGNE est une régionale puisqu’elle est née à Charleroi en 1956 et qu’elle habite à Montigny-le-Tilleul depuis près de 20 ans.

S’appuyant sur sa longue expérience de plus de 25 ans, toujours d’actualité du haut de ses 54 ans, en qualité de modèle nue où elle n’hésite pas à poser, au-delà de la photographie, dans les registres du body-painting et même du moulage sur corps, elle voyage depuis 2001, en parfaite autodidacte, dans les venelles de la féminité nue sous toutes ses facettes sans en ignorer les plus confidentielles.

Au départ, Annick TERWAGNE s’essaie au crayon et tout de suite, sa sensibilité féminine transpire au travers ses dessins représentant la Femme dans sa simple et noble vénusté. Ensuite, elle expérimente différentes techniques telles que le fusain, la peinture à l’huile ou à la gouache sur papier peint et le pastel couleur.

Depuis deux ans, elle a jeté son dévolu sur le dessin au pastel blanc sec sur fond noir qu’elle réalise en grand format.

Forte d’un actif de 21 expositions présentées sur les sept dernières années, passant par Libramont, Bruxelles, Paris, Rochefort, Pont-à-Celles, Beaumont, Trélon (Fr), elle s’arrête aujourd’hui à Montigny-le-Tilleul pour présenter ses réalisations en ses murs : ceux de la galerie Intimerrance dont elle est l’heureuse propriétaire avec son époux, le photographe Jean-François COLLIGNON.

Une exposition en solo, ce qui est pour elle une grande première. Une exposition au travers laquelle elle vous présentera l’évolution de ses dessins, de 2001 à ce jour. Une exposition au cours de laquelle elle aura, aussi, le plaisir de vous ouvrir les portes de son atelier, lieu de quiétude absolue dans lequel elle entre en confidence avec ses pastels.

Annick TERWAGNE, le sujet absolu, « pastelliste de la Féminité » comme elle se définit, femme qui se passionne à valoriser l’image de la féminité dans le plein épanouissement de tout son univers.

A voir à la galerie Intimerrance, rue Vandervelde, 95 à 6110 MONTIGNY-LE-TILLEUL du 23 octobre au 13 novembre 2010 le mercredi et samedi de 15 à 17 heures et le vendredi de 17 à 19 heures ou sur rendez-vous.

Le vernissage de l’exposition se tiendra le vendredi 22 octobre 2010 de 19 à 21 heures.
Invitation cordiale à toutes et à tous.

Info : http://www.galerieintimerrance.com ou au 00-32-(0)497/67.37.96.

mercredi 7 juillet 2010

Stage en atelier terre !


La sculptrice Béatrice DERIDIAUX organise un stage d’une journée en atelier TERRE pour adultes débutants par petit groupe de 4 personnes maximum.
Un moment à soi, en dehors du temps !

THEME : « Les vacances ». Que représentent les vacances ?
Le soleil, l’évasion, la liberté, la mer, …

Travail dans la masse, la terre nature à l’état brut.

QUAND ?Les lundis 9, 16, 23 et 30 août 2010
Les mercredis 4, 11, 18 et 25 août 2010
de 10 à 13 heures et de 14 à 17 heures.
Prévoir un casse-croûte – boissons offertes.

LE COUT ? 25 euros par journée.
Non compris : achat de la terre et cuisson à 950° (4euros par kilo cuit).
Matériel à disposition.
Prévoir éventuellement un tablier.

OU ? rue du Moulin, 52
6110 MONTIGNY-LE-TILLEUL
Belgique.

RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTION (indispensable) : 00-32-(0)476/81.77.64.

Béatrice aura grand plaisir de vous rencontrer à cette occasion.

dimanche 4 juillet 2010

Les potiers d’UZECH LES OULES.


Uzech-les-oules est un petit village qui se trouve dans le Lot, en France, entre Gourdon et Cahors.

Le nom du village provient de l'occitan et le mot signifie "banc d'argile".C'est au XIIIème siècle qu'Uzech s'élève peu à peu sur une colline constituée principalement de pierre calcaire et d'argile.


Le mot « Oules » est associé au nom du village depuis 1466.
L’oule est un récipient en terre cuite qui avait trois utilités :
- la conservation des aliments confits
- la chasse au pigeon (enterrée et remplie de grains, l’oule devenait un excellent piège)
- la protection des toits grâce aux épis de faîtage.

Ce village a une véritable tradition potière.
En 1650, on ne récence pas moins de 60 familles de potiers sur la commune qui compte à l’époque 600 habitants. Cette concentration d’artisans à Uzech s’explique par la présence d’argile dans le sol, l’un des seuls endroits du Lot avec Puy l’Evêque à en contenir.

Aujourd’hui, Uzech compte 200 habitants et fait revivre tout au long de l’année cette tradition à travers « OULERIE », véritable Maison-Atelier où des potiers en résidence, maîtrisant techniques ancestrales et spécificités Uzechoises, laissent aussi libre courts à leur imagination.

Nous sommes allés à la rencontre de ceux-ci qui nous ont accueillis avec sympathie et nous firent partager leur passion pour ce métier. Un régal pour Annick de discuter avec eux.

C’est ainsi que Samuel OCHANDO expliqua à Annick les différentes terres utilisées et les températures de cuisson.


Manon COLLOT nous fit une démonstration de son savoir-faire.
Notons que David ROBERT fait également partie de l’équipe.

Nous avons pu également visiter la très belle salle d’exposition où il vous est possible d'acquérir les réalisations de ces artisants potiers.

Avant de nous rendre au village pour rencontrer et voir travailler Marie BEIX dans son atelier qui se trouve juste à côté du bar-restaurant « Le rendez-vous des potiers ».

A noter que le 22 août 2010 aura lieu à Uzech la foire de la poterie qui aura pour thème l’Afrique et plus particulièrement le Pays DOGON.

A suivre, le village et les épis de faîtage.

lundi 21 juin 2010

Paul BRUYNEEL expose ses Afriques.


Paul BRUYNEEL a le grand plaisir de vous inviter au vernissage de l'exposition


" Paul Bruyneel expose ses Afriques "

Un nouveau concept adopté par Cécile et Stéphan
qui en invitant les artistes
a orner les murs de la "Boutique, Galerie de Cécile" crée une
possibilité nouvelle pour les créateurs d'exposer leurs œuvres au
cœur de la plus petite ville de Belgique.

Voyage Imaginaire à Durbuy - La visite de l'expo.

Bonjour,

Ce samedi 19 juin 2010, nous avons rendu visite à notre amie la céramiste Nicole CHEYNS et notre ami le peintre Paul BRUYNEEL qui présentaient en compagnie de quatre autres artistes, l'exposition "Voyage Imaginaire" à la "Halle aux Blés" à Durbuy en Belgique.

Occasion pour Annick et moi de découvrir cette magnifique salle d'exposition au coeur de la ville.

Occasion surtout de découvrir de toutes nouvelles pièces de notre amie Nicole CHEYNS.

Et de notre ami Paul BRUYNEEL qui présentait aussi de nouvelles sculptures.

Occasion également de découvrir les oeuvres d'autres artistes à commencer par celles du peintre David VLIERS que nous aurons le plaisir de vous présenter plus longuement dans un article lui consacré.

Celles de la créatrice d'objet d'art d'inspiration chamanique Marie-Louise BORREMANS. Ces voyages, ces rencontres, ces recherches, ces rêves ont amenés Marie-Louise à partager son univers ethnique, ses racines, ses ancêtres dans des oeuvres d'art d'inspiration chamanique.

Celles de Nicoletta BEDAN dont l'inspiration vient de la multitude d'enfants couleur "café au lait" qui peuple son île, qui va du blanc pur au café foncé : le métissage créole.

Enfin, celle du sculpteur sur marbre Henri MAMES.

Un magnifique voyage du symbolisme vers l'art d'inspiration chamanique. Bravo et merci aux artistes.

dimanche 30 mai 2010

Un vernissage d'Art Passion !


Ce vendredi 28 mai 2010 avait lieu à la maison des Arts de Trélon (France), le vernissage de l'exposition collective "Art Passion" à laquelle toute la petite famille participait, en tant qu'artistes exposants.


Annick, Coraline et moi exposions dans une sympathique petite salle donnant une véritable intimité à celles et ceux qui venaient en prendre connaissance.


D'autant que notre ami Philippe PIEFORT, sculpteur, occupait l'espace avec nous pour présenter ses oeuvres originales dont l'arbre de la féminité déjà présentée en notre galerie.


Dans la salle principale, avaient pris place les artistes Brigitte PIERARD, peintre, Laurence DEWILDE, sculptrice et André LEROT, peintre.


Sur le coup de 19H00', les invités arrivent !

André LEROT accueille les invités et fait son discours de présentation de l'exposition à côté de la Présidente d'honneur de l'association les Ymagiers, Claudine De Lange.


L'assistance est attentive aux mots prononcés.


Et il l'heure du vin d'honneur.


Les artistes ont terminé la soirée au jardin. Une belle soirée conviviale autour des passionnés de l'Art.

dimanche 23 mai 2010

Vie d'artistes.

L'idée d'organiser un souper de dévernissage du 5ème salon de l'Eternel Féminin s'est concrétisée ce samedi 22 mai 2010.


C'est dans le cadre prestigieux du site de l'Abbaye d'Aulne que 10 artistes et leurs conjoints se sont retrouvés au café LEBLON.


Ce café est loin d'être un simple bistroquet. En effet, il a une véritable histoire qui touche de près la collègue de travail d'Annick, Laurence, dont l'arrière grand-mère fut la première tenancière du café restaurant LEBLON-WEVE dont Laurence nous a offert les photographies d'époque.


Au départ, il était implanté dans l'enceinte même de l'Abbaye.


Voilà ce qu'est devenu le café restaurant, aujourd'hui, à cet emplacement.


Le café LEBLON a en effet déménagé quelques centaines de mètre plus loin.


Aujourd'hui, ce n'est plus la famille de Laurence qui le gère mais, malgré la récente rénovation, le cadre reste fidèle à son ambiance chaleureuse d'antan.


C'est donc ici que nous avons pris l'apéritif, non à la terrasse, complète, mais sur le petit terre plein en face. Sur cette photo, vous pouvez voir, de gauche à droite, les sculptrices Maria RE et Béatrice DERIDIAUX, la pastelliste Annick TERWAGNE, le photographe Rickwills et son fils Arnauld, les peintres KAWES et André LEROT et enfin, Annie, l'épouse de ce dernier.


Ici, Jean LEDOCQ et Nicole, son épouse.


La peintre Manuela HAMES et Fabian, son époux.


Le photographe Freddy HAUGLUSTAINE et sa compagne Béatrice.


Tout ce petit monde s'est retrouvé dans la salle à manger du restaurant autour d'une table conviviale.


Fait rare qu'il faut le souligner, la bonne humeur constante du peintre André LEROT n'était pas due au délicieux vin blanc liquoreux servi avec l'entrée ou le succulent vin rouge servi avec le plat de consistance mais à la force férigineuse de l'eau de SPA !


En fin de soirée, le gâteau d'Intimerrance fut servi aux invités. Une attention délicate des propriétaires du café-restaurant LEBLON.


Mais l'agréable surprise de cette fin de soirée fut la visite de Laurence qui, pour le plaisir de tous, expliqua l'histoire de l'établissement où elle a passé toute sa jeunesse.


Une soirée qui laissera indégniablement des traces dans la mémoire de chacune et chacun des participants.

Un grand merci à Freddy HAUGLUSTAINE pour ces quelques photos d'ambiance :